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21 juin 2013 5 21 /06 /juin /2013 15:04

" il ne vient pas a moi ! c'est moi qui vais a lui ! "

 il ne faut pas que je tombe amoureuse ! attention !
On ne tombe pas amoureuse en… combien deja !?


2 ou 3 mois ?! soit environ,  90 jours. un calcul assez flou,
(depuis que je le connais, je ne sais plus différencer les nuits des jours !).

2 ou 3 jours par semaine. une petite moyenne de 3 nuits blanche sur 7 jours.
(et je continue de voyager a droite a gauche en dormant debout).

quelques exceptions à la règle, biensur, l'improvisme ! soit, 1 journée au lit.
(il pleut averse et je dois le quitter dans quelques heures).

 

il ne faut pas que je tombe amoureuse ! "protègez-vous mademoiselle K."
on ne tombe pas amoureuse d'un homme comme ça ! 

en très peu de mots. en très peu de chiffres. en très peu de temps.
(il faut aller droit au but !)

Lorsqu'il me serre et me contraind sous la force du desir,
je ressens toute son affection, qu'il ne sait donner ailleur qu'au lit.

je prend. je pleure aussi ! j'aimerais lui dire "je t'aime" lorsque sa main serre la mienne.
(le plaisir déclenche bien des envies !…)


il ne faut pas que je tombe amoureuse ! je vais souffrir !
on ne tombe pas amoureuse pour quelques orgasmes partagés en silence.

et le reste. "l'affect" ? le geste. celui qui rassure la femme d'être "une salope" pour celui qu'elle aime.
(lui a t'elle dit qu'elle l'aimait !?)

dans une limite permanente d'affection, j'accepte, qu'il ne m'aime…
(qu'il ne m'aime et qu'il m'aime alors que je jouie d'amour pour lui !)

"je prend. je pleure aussi !" j'accepte le peu d'espoir d'amour avec lui.
"je prend. je pleure aussi !" j'accepte qu'il ne m'aime qu'au lit !…

 

 

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2 février 2012 4 02 /02 /février /2012 11:07

je me lève, le réveil sonne 7h40.

j'installe ton petit déjeuner sur la grande table du salon. 

je bois mon café dans la cuisine en fumant ma première cigarette de la journée.
il fait froid aujourd'hui. c'est l'hiver. et les -15° frappent
aux carreaux.
il faut se couvrir chaudement en épaisseur.
Je choisis tes vêtements du jour.

Tu t'habilles sur le canapé avec mon aide et tu me grimpes dessus en enfilant ton pantalon !
la routine. la télé diffuse tes dessins animés
préférés du matin.
le tic tac du temps sonne les 8h30, c'et l'heure de partir
à l'école.

 

le petit rituel du matin continu dans la voiture. 

on regarde au loin, le soleil orange du jour. tu me demandes quand la lune sera ronde.

on écoute l'horoscope ! tu as 4 étoiles aujourd'hui, ce sera une bonne journée !

on arrive. on reste un peu au chaud. toujours un peu en avance. 

tu sors ton parapluie et tu tires les monstres roulant !

Sarah arrive.

 

C'est parti. tu portes ton gros sac a dos. j'allume ma deuxième cigarette de la matinée.

Ta copine boude. tu marches derrière elle. j'hausse les épaules et te dis "ha les filles"…

pas facile d'être amis tous les jours… tes 4 étoiles s'effacent dans l'air du temps.

Je te serre contre moi. et les portent s'ouvrent. 

je t'embrasse en te souhaitant chaque matin, de bien travailler. et tu pars. et j'attend.

que tu poses ton gros sac pour me faire le dernier coucou !

je crois bien, qu'il n'y a que nos deux mains qui s'agitent ainsi !

 

le petit rituel du matin se termine. je rentre seule. 

j'ouvre la maison encore endormie. ton pyjama traine sur le canapé.

le café coule en silence. j'écoute la musique. ce matin en boucle sur le son d'Imany".

il est bientôt 10h30. le téléphone ne sonnera pas à l'heure habituelle. 

Mon amie de tous les jours n'est pas là aujourd'hui. 

alors j'écris…

 

… Mon petit rituel quotidien noircit cette page blanche de mélancolie.

tu n'es plus là pour occuper mon esprit de gaieté et de fantaisie. 

et le café coule. toujours en silence. et la musique change de rythme. 

"Mud Flow" n'est pas plus gaie, que la douce voix d'"Imany"… 

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28 février 2011 1 28 /02 /février /2011 12:06

ce matin on est lundi. Je n'ai pas dormi de la nuit. J'ai pleuré…
Sans parler des cauchemars… en répétition…  dès que je somnolais.

J'ai accompagné mon fils à l'école ce matin, les yeux gonflés
comme un joueur de box. Une allergie douloureuse…

J'ai ce point à la poitrine qui m'étouffe. Les larmes coulent toutes seules,
brullantes, je ne sens qu'elles glisser sur moi aujourd'hui.

Ce matin on est lundi. Je dois m'occuper l'esprit et agir m'est impossible.
Trop précipité. Et pourtant je voudrais fuir. Les événements sont nouveaux.

J'ai du boire deux cafetière de café. Et j'ai le ventre noué.
Je ne ressemble plus à rien. L'amour rend petit. Petit.

Je n'existe plus ce matin. On est lundi et je ne veux voir personne.
Entendre personne… 

J'ai décroché le téléphone parce que c'était toi, mon amie.
Et je t'ai dit la vérité qui me fait tant souffrir. l'inacceptable vérité.

Et je pleure depuis et je ne peux rien faire d'autre que de pleurer.
Ma vie est gâchée… foutue… ruinée… même si tu me dit le contraire.

L'amour rend petit. petit.
Je ne suis plus rien aujourd'hui.

Il ne m'aime plus. Et moi je l'aime.
On est lundi… et ni demain… ni mercredi… 

Il me dira je t'aime.

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10 novembre 2009 2 10 /11 /novembre /2009 11:36
Depuis Toujours j'aime écrire. J'ai commencé comme beaucoup
de jeunes filles, par un journal Intimes. Celui qui a inventé,
ce carnet secret à lancé un sacré truc dans l'air du temps…
Indémodable…!

J'y collait toute sorte de souvenirs, même mon premier joint
sèche encore dedans ! Et puis ma mère l'a lu… et là, j'ai tout stoppé…
Impossible d'écire de nouveau dans ce livre… j'ai commencé
à écrire sur des feuilles volantes. Puis dans mon agenda.
J'ai jeté mes agendas… pas mon journal intime…

J'ai toujours une trousse dans mon sac ou un stylo qui traîne,
dans une des poches. J'ai toujours besoin d'un stylo !
Les voyages en train m'ont beaucoup inspiré l'envie d'écrire,
parfois juste pour passer le temps. Certains lisent, écoute la musique,
font des mots croisé ou tricote ! moi j'écris !

J'adore écrire au crayon de papier. Il glisse, se gomme et se rature
en carbone noir. Il se dessine en gribouillage et j'adore une page
blanche qui se remplie d'idées soudaines ! J'adore écrire au feutre aussi,
au feutre noir. J'ai mon toc d'écriture ! certains tapotent leurs oreillers,
pour les remettre en forme ! Moi j'adore les stylos et le papier !

Il ne faut pas m'amener dans une papèterie ! J'achète tout ! des crayons argent,
des feuilles et des enveloppes de toutes les couleurs ! 

Aujourd'hui, j'écris aussi beaucoup avec le clavier. C'est différent.
Vraiment différent. Le son des touches rythme la cadence de mes pensées.
Ma passion d'écrire, n'est pas juste le fait d'écrire.

Mes pensées vont parfois trop vite. C'est comme si j'appuyais
sur pause en les couchant sur papier". "Coucher sur papier".
Voilà une expression qui laisse à méditer. Pour qui aime méditer !
l'observation et la sensibilité aide à imager ce qui est abstrait
au yeux des gens. La pensée s'envole dans nos têtes et les mots
ne s'écrivent pas assez vite. si seulement je pouvais dire "stop"
aux envolés de mes pensées ! J'aurais moins de chose à écrire,
ce serai triste en fait, tout bien réfléchit ! J'aime écrire.

Lorsque je jouais du "Djembé", je ressentais la musique
jsuqu'au bout des doigts… mes mains gonflaient et pétillaient de fourmillement,
sous les vibrations du rythme africain. Les mots se chantent, les mots s'écrivent,
les mots se parlent. Les mots s'expriment en couleur ou en matière…
Chacun ses mots ! 

Certains penserons ou diront, qu'ils les trouvent noirs.
Oui ce sont des mots noirs…
Noir, d'encres tâchées… Noir, dépeint le tableau de mes 33 ans. Noir d'idées
jetées en brouillon. Il n'y a plus de place pour Michey et le train fantôme
avance dans le noir… Noir de l'inconue qui m'agresse, noir de l'absence
de tolérance… Noir de questions sur l'avenir… Noir d'humeur, noir, face
à la colère des gens. Noir. Je ne vois pas noir, j'écris noir !

Voici pour ma défense et contre la critique noire "de mon jetée de crayon",
ce que je dirais sur ma passion d'écrire. Noir ou pas noir.
Et je n'espère convaincre personne, puisqu'il ne faut jamais se justifier
d'être ce que nous sommes. Je suis, ce que j'écris.
Et c'est déjà pas mal !…












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16 octobre 2009 5 16 /10 /octobre /2009 11:56

Les mots sont dûrs, les mots sont las, les mots sont tristes…
Les mots s'inventent, les mots s'enchaînent, les mots inspirent…
Les mots se crient et se taisent, se tuent et s'apaisent.

Les mots.

Un jour, le premier mot s'échappe victorieux d'une longue et laborieuse
traversée de "gazouillis". Il dit "papa" ou "maman", pour faire plaisir.
Le premier mot s'applique. C'est un cadeau vivant, impalpable et éphémère.
Je ne connais pas mon premier mot.

"Silence de mot. Que dire. Déjà si petite. Quel mot choisir."

Un jour, le vilain mot raisonne comme un écho et transperce
le coeur battant d'un enfant. Ce mot existe à présent et pour toujours.
Lourd de signification, trop lourd de signification… Il ne dit pas,
il déchire. Il arrache l'innocente enfance de son rêve. Il détruit.
C'est un mot assassin. Assassin. "Tais toi, tais toi, tu n'existes pas…"

"Silence de mot. Il n'y a plus rien a dire. Le pire a déjà tout dit."

Les mots. Dis moi "Dinosaure", que je rêve encore du plus incroyable.
Dis moi "Étoile", que je lève les yeux vers le ciel pour y croire.
Dis moi "Planète", que la terre tourne bien rond… Dis moi tout, mais pas ça… 

"Silence de mot. Le mot se tait. Trop dur à prononcer. Trop dur à accepter."

Depuis, la vie ne parle plus comme avant. Elle crie. Elle souffre.
La colère à pris place dans le corps de l'enfant et de honte,
il invente de nouveaux mots.  Isolé dans son nouveau monde,
il se cache pour ne pas s'affronter aux regards des grands.

"Silence de mot. Mots interdit. Crache-le et vis-le autrement. Ce n'est qu'un mot."

Adoption.


 

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6 octobre 2009 2 06 /10 /octobre /2009 18:19
Choisir un titre parfois avant d'écrire, c'est quelque chose !? Non ?!
À moins que… le titre ne vienne tout seul après avoir écrit quelques lignes ?!

"Si j'étais Moi"… sera mon premier titre. Et mon premier texte. Un essai en brouillon de mot
à la lancée, au hasard de mes pensées !! Ouai… Pourquoi pas ?

Ouai, "Si j'étais Moi", m'incarne bien pour commencer. Et je commencerais par ça :

Si j'étais Moi,  je m'installerai en face de mon clavier, et non plus sur un bout d'table
avec mes feuille volantes, mes cloppes et mon stylo… Ras l'bol ! 
Si j'étais Moi, je me présenterais de cette façon, en ne trop rien disant !
Si j'étais Moi, je dirais que c'est pas mal d'être enfin soi même, un court instant peu être,
et au travers d'un texte sans signification… Que c'est pas mal, de ne rien dire pour écrire,
ou d'écrire pour ne rien dire ! 
Si j'étais Moi, je m'abandonnerai enfin dans l'écriture, puisque c'est ce que j'aime faire,
au hasard du temps et des lieux…
Si j'étais Moi, j'oserai…

Ouai, "Si j'étais Moi", n'en dit pas d'trop et (peu être) pas assez… avec le temps, l'inspiration,
si j'étais moi, je témoignerai du rythme que la vie nous fait vivre… de la musique qui nous agite…
des dangers d'être nous parmi la foule qui nous juge… de tout et de rien,
puisque rien n'est pas rien et que tout peut s'écrire…

Si j'étais moi, je m'arrêterais là…!


 
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